Georges Brassens est né à Sète, le 22 octobre
1921. Le chanteur, poète et musicien connaît la gloire à Paris. Il
passera toute sa vie entre ces deux villes.
L'impasse Florimont dans le 14 ème arrondissement C’est au n°9 impasse Florimont que Brassens trouve refuge ici en 1944 pendant la guerre chez Jeanne et Marcel Planche, un couple qu’il a connu par sa tante. Une histoire d’amour passionnée naît entre Georges et Jeanne, son aînée. Il y restera 22 ans, y forgeant ses plus grands succès, dont "La chanson pour l’auvergnat" ou la célèbre “Cane de Jeanne” qui rappelle l’arche de Noé entretenue par sa maîtresse dans cette petite impasse.
C'est en février 1940, que Brassens est hébergé chez sa tante Antoinette Dagrosa, qui habitait 173 rue d'Alésia, le 14ème arrondissement.
L'impasse Florimont dans le 14 ème arrondissement
L'impasse Florimont dans le 14 ème arrondissement C’est au n°9 impasse Florimont que Brassens trouve refuge ici en 1944 pendant la guerre chez Jeanne et Marcel Planche, un couple qu’il a connu par sa tante. Une histoire d’amour passionnée naît entre Georges et Jeanne, son aînée. Il y restera 22 ans, y forgeant ses plus grands succès, dont "La chanson pour l’auvergnat" ou la célèbre “Cane de Jeanne” qui rappelle l’arche de Noé entretenue par sa maîtresse dans cette petite impasse.
C'est en février 1940, que Brassens est hébergé chez sa tante Antoinette Dagrosa, qui habitait 173 rue d'Alésia, le 14ème arrondissement.
Le marché Villemain, c'était notre marché. Il se trouvait sur une placette dégagée entre l'avenue Villemain et la rue d'Alésia.
Comment pouvais-je savoir que dans cette ruelle, qui démarrait sur le coin gauche, près du n° 150 de la rue d’Alésia, juste avant le marché... se trouvait la maison de Jeanne dans laquelle vécut Georges Brassens pendant plusieurs années.
Là où il y a le "A" rouge, marqué par Google, c'est l'impasse Florimont. Là où j'ai mis la flèche rouge, c'est là où je suis née, où j'habitais, où j'ai passé toute mon enfance, mon adolescence.... |
Et voilà comment c'était, ce que je n'ai jamais vu. Figurez-vous que je n'y ai jamais mis les pieds dans cette impasse.
Et là j'étais déjà ado. Je savais de qui on parlait. Il a habité cette maison jusqu'en 1966, j'avais 18 ans. Georges Brassens il est né le 22 octobre 1921. Un gros décalage avec moi. |
C'est par l'audition dans le cabaret montmartrois de la chanteuse Patachou, le jeudi 24 janvier 1952, qu'il obtient sa première chance. 52, je venais à peine de naître... Mais pendant les années soixante il était une vedette : Bobino, Olympia.
Georges Brassens est décédé le 29 octobre 1981.
Le 22 septembre 1994 (en clin d’œil au titre de sa chanson créée en 1964 : Le vingt-deux septembre), à l’initiative de l’association Les Amis de Georges, un bas-relief en bronze – réalisé par le chanteur Renaud – est fixé contre la maisonnette.
Une plaque indique aussi que Pierre Nicolas, le fidèle accompagnateur et contrebassiste, naquit ici. Un curieux hasard…
Aujourd’hui,
la petite maison occupé puis rachetée par Georges Brassens est habitée
par son secrétaire et précieux ami, Pierre Otoniente, surnommé
Gibraltar.
"ET QUE J’EMPORTE ENTRE LES DENTS
UN FLOCON DES NEIGES D’ANTAN..."
La rue Santos Dumont dans le 15 ème arrondissement
En 1966, Georges Brassens quitte l’impasse Florimont et erre un temps entre plusieurs adresses. Enfin, il trouve une jolie et calme maison dans le 15 ème arrondissement (limitrophe avec le 14 ème).
C'est dans l'une de ces maisons, au numéro 42, qu'a vécu Georges Brassens.
Le parc George Brassens
Tout proche, à la place des abattoirs de Vaugirard, un grand parc moderne a été créé en 1985, et porte son nom. Il est sillonné d’allées qui portent toutes le nom d’une chanson de Brassens. Un marché du livre ancien et d'occasion se déroule toutes les fin de semaine à l'entrée du parc, sous une partie des halles préservées.
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