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Photo d'Edna |
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Il y a bien longtemps que je ne me souvenais pas d'une fête de la
musique aussi chaude.
Hier soir donc je suis allée à l'hôtel de Sully, rendez-vous avec Edna, une amie brésilienne, à 18h30, ce qui nous a permis de coin par terre assez proche, et de
se le sauvegarder avec force pendant tout le concert, en trouver un, car
qu'est ce qu'il y a eu comme foule par la suite.
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C'était sublime, que des musiciens que je connaissais, ou presque,
excepté ce nouveau saxophoniste italien qui débarque sur la scène française,
Rosario Giuliani (Rosario c'est facile à s'en souvenir... le
rosaire).
http://www.zicline.com/showtime/rosario.htm
Il ressemble à 2 gouttes d'eau à Stefano di Battista, aussi petit et aussi rasé du crâne, ça va faire une sacrée concurrence. à suivre cet Italien.
Enfin que des grands noms de la scène française.
Antoine Hervé (piano solo)
On a raté, arrivée en plein Baptiste Trotignon et David El Malek (piano, basse, batterie, saxo), une superbe rencontre, déjà que je suis une fan de David El Malek, alors là les deux à la fois, ce fut un régal.
Rosario Giuliani (trio piano (Jean-Michel Pilc), batterie (Benjamin Henock) et contrebasse (Remi Vignolo).
Jean-Michel Pilc (piano solo), superbe pianiste, bien que "musique experimentale" comme l'a définie Edna, qui reconnaissait de la musique brésilienne, du style modinha, dans les réinterprétations des standards. Et c'est vrai, j'étais d'accord.
Sara Lazarus (chant, piano, contrebasse, batterie) avec un Alain Jean-Marie tellement sublime. Un problème de triple echo en retour a beaucoup gêné la prestation de Sara.
Erik Truffaz (trompette, chant, batterie, basse, guitare).
Eric Truffaz m'a un deçue, il mêle deux chanteurs de musique arabe et rap, et là ça ne m'a pas convaincue, je preferais avant, tel que je l'ai entendu l'été dernier.
Pour une fois j'étais spectatrice et pas cachée dans un camion- régie glacial par l'air conditionné, et ne vivant le concert qu'au travers d'une camera et de deux enceintes. Que ce fut chouette d'être en plein air, dans un lieu merveilleusement beau, et avec cette chaleur qui me rappelait la joie de mes festivals d'été d'autrefois, dans le midi. être spectateur c'est quand même bien.
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